Annayake Reparative Cream Extreme
Annayake Reparative Cream Extreme
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EXTREME Reparative Cream from Annayake...
This is the absolute, immediate solution to the problems faced by skin that has been dried out, weakened, damaged and sensitized by age and harsh external factors. This skincare product contains a revolutionary active ingredient, which until now has only been used in medicine and ophthalmology - Poly MPC. It replenishes the skin, protects it, and stimulates the skin-repair process. This rich, silky smooth, oil-free product leaves the skin supple, radiant, smooth and comfortable. Also enriched with a powerful firming and anti-wrinkle active ingredient, it restores the skin’s firmness and tone and reduces the appearance of wrinkles.
All skin types
Récupération des traits : confort dense, peau remise à l’ordre
Il y a des soirs où le visage demande davantage qu’une simple crème : après une journée longue, des écarts de température ou une lumière d’écran persistante, la peau réclame de la réparation et un retour à la cohérence. Le Soin Réparateur Extrême a été pensé pour ce moment précis. Sa texture caressante se pose en film fin, réconforte sans enfermer et aide la surface à retrouver son alignement naturel. Dans l’architecture de la gamme, il est la pièce qui referme le rituel avec tact ; pour garder le cap et situer son rôle, votre repère de gamme reste la collection Annayake Extrême, conçue comme une partition claire entre densité, tenue et réparation.
Dès l’application, la matière s’assouplit entre les paumes puis s’étire en voile souple. Sous les doigts, la peau gagne une élasticité tranquille ; au miroir, la lumière se stabilise. Le fini parle de « mat vivant » : ni poudré ni gras, juste une clarté posée qui respecte les reliefs. On ne cherche pas l’effet spectaculaire ; on réinstalle un état de peau reposée, disponible, capable de traverser la nuit sans se froisser. Le parfumage reste minimaliste pour s’effacer derrière la sensation ; la texture, elle, se fait « seconde peau », assez présente pour tenir jusqu’au matin, assez fine pour laisser respirer.
Mode d’emploi en couche fine
Travaillez sur peau parfaitement propre, légèrement humide. Prélevez une noisette, chauffez-la entre les paumes puis pressez du centre vers l’extérieur : joues, front, menton, en terminant par le cou. Évitez les frictions rapides ; préférez des pressions lentes qui relancent la microcirculation sans échauffement. Laissez une minute de « temps juste » afin que la matière se pose ; si certaines zones tirent (haut des joues, menton), déposez une demi-noisette supplémentaire en film très fin et attendez encore quelques secondes avant de lisser l’excédent. Cette cadence courte mais précise ancre la récupération et améliore la tenue au réveil.
Les jours d’agenda dense, pensez « focus » plutôt qu’épaisseur : travaillez le produit en éventail sur les pommettes et remontez vers les tempes, puis scellez l’ovale par des pressions derrière les oreilles. Le film se met en place, la surface se rassemble, l’expression se détend. Au lever, la peau paraît plus régulière, prête à accueillir une base légère sans appel de matière.
Nuit/soir : remettre la peau en ordre, sans surcharger
Le réparateur agit comme un tuteur nocturne. Il restructure visuellement le grain, apaise les zones échauffées par la journée et réinstalle une continuité qui se lit au toucher. Sa force tient à son équilibre : suffisamment dense pour soutenir, suffisamment fin pour éviter toute sensation d’occlusion. Cette justesse le rend compatible avec différents contextes : chauffage intérieur, climatisation, transports, retours tardifs — autant de paramètres qui bousculent le film hydrolipidique et fatiguent la lumière du teint.
Selon la saison, on ajuste la présence. En automne-hiver, prenez une cadence plus lente et étendez la pose jusqu’au haut du décolleté ; au printemps-été, dosez plus parcimonieusement et concentrez la matière sur les reliefs qui marquent. Deux soirs par semaine, offrez-vous une « respiration » plus longue : paumes tièdes, quatre cycles d’inspiration/expiration, puis une minute d’attente avant la dernière pression. Ce détail change la façon dont la texture s’unit au tissu et améliore la netteté du réveil.
Associer au sérum de tenue, alterner selon les jours
La ligne Extrême se pense en accords : structure le matin, réparation le soir. Les jours « visibles », installez une impulsion de fermeté avant la crème de jour ; le soir, laissez le réparateur refermer la parenthèse avec douceur. Si l’ovale demande un soutien supplémentaire en journée, glissez quelques pressions du Sérum Fermeté Extrême le matin : sa finesse affine la surface et prépare un terrain homogène sur lequel le réparateur travaillera d’autant mieux la nuit. À l’inverse, lors des semaines plus calmes, gardez un rythme minimaliste : nettoyage, réparateur, sommeil. La peau profite autant de la sobriété que de la richesse.
Publics : peaux normales à mixtes qui se « froissent » en fin de journée, épidermes plus secs soumis aux intérieurs chauffés, profils urbains exposés aux écrans et aux micro-variations de température. Contextes : veille de rendez-vous, retour tardif, voyage — le réparateur joue alors le rôle d’amortisseur, évitant la marque du manque de repos.
Fini, confort, réveil : l’équilibre juste
Au réveil, on ne « voit » pas le produit ; on voit la peau : plus posée, plus régulière, moins marquée. Les micro-reliefs paraissent polis, l’ovale mieux ordonné. Sous une protection légère, le teint conserve sa continuité, et le maquillage s’étire sans accrocher. Cette fidélité tient à la qualité du film laissé par la nuit : un coussin élastique qui ne casse pas au contact des vêtements ou de la literie, et qui s’efface dès le nettoyage matinal pour laisser place à la routine de jour.
Si un repère devait rester, ce serait celui-ci : la réparation est une cadence, pas une épaisseur. Un film fin, des pressions lentes, une minute de pause — et la peau fait le reste. Pour conserver la cohérence du parcours et retrouver facilement votre fil conducteur, gardez à l’esprit l’univers Annayake Extrême : une carte simple où chaque geste a sa place, au service d’une beauté tenue, sereine, durable.
Rituel de finition, conclusion douce
Terminez toujours par une « couture » des paumes sur l’ovale et le haut des joues pour sceller la pose. Ce geste, discret mais décisif, stabilise la lumière et prolonge la sensation de peau rassemblée. Au fil des usages, le reparateur installe cette évidence presque intangible qui fait la signature d’Annayake : moins d’esbroufe, plus de constance ; moins d’épaisseur, plus de tenue. La peau retrouve son tempo, et c’est précisément ce qui se voit.



