Annayake Hydration Serum Extreme
Annayake Hydration Serum Extreme
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EXTREME Hydration Serum from Annayake...
A very gentle transparent gel that is easily absorbed by the skin. It truly bathes the driest skin in moisture.
The skin is soothed, supple and radiant.
Hydratation technique, grain affiné
Il existe des jours où la peau ne demande pas seulement du confort, mais une organisation de son eau dans la durée. Le Sérum Hydratation Extrême répond à ce besoin précis : une texture fine, presque aqueuse, qui disparaît à l’œil nu mais réinstalle un film régulier, souple, fidèle toute la journée. On retrouve ici l’esthétique d’économie propre à la collection Extrême : couches fines, gestes justes, résultat lisible. Sous les doigts, la surface se polit, les zones qui tirent retrouvent du rebond et la lumière se pose sans briller, comme si la peau réapprenait son rythme.
Ce sérum travaille sur deux axes : réservoir d’eau et tenue du grain. Le premier soulage immédiatement les hautes joues et le bas des pommettes, souvent marqués par le chauffage, les écrans ou les écarts de température ; le second homogénéise la surface pour empêcher l’hydratation de « migrer » vers la zone T. Le rendu évoque ce « mat vivant » signature : ni poudré, ni gras, simplement ordonné. La peau garde sa liberté de mouvement ; l’ovale reste lisible, prêt à accueillir une crème de jour ou une protection.
Gestuelle courte du matin
Le matin, travaillez sur peau propre et légèrement humide. Déposez une pression de sérum au creux des paumes, chauffez une seconde, puis pressez du centre vers l’extérieur : joues, front, menton, en terminant par l’ovale. Si la journée s’annonce longue, ajoutez une demi-pression sur les hautes joues et le sillon pour ancrer la souplesse. Laissez une minute — le temps juste — avant de sceller avec une crème ou un écran. Les jours « visibles », le duo avec le sérum fermeté se fait en superposition raisonnée : hydratation d’abord (film fin), structure ensuite (demi-pression localisée sur l’ovale). Le maquillage gagne alors en fidélité, sans épaissir la base.
La constance vaut mieux que la surcouche : une pression, une minute de pause, puis la suite du rituel. En milieu d’après-midi, réactivez le film par des pressions « à sec » des paumes sur les pommettes et les tempes ; sans rajouter de produit, la lumière se régularise et la sensation de confort revient. Cette micro-gestuelle, discrète mais efficace, change la tenue perceptible du teint jusqu’au soir.
Quand choisir l’hydratation avant la fermeté ?
Lorsque la peau se froisse en fin de journée, qu’elle perd moins sa tenue que sa souplesse, la priorité va à l’eau. Le soir, la même pression posée plus lentement relance la récupération ; sur les zones qui tirent, une seconde demi-pression en voile très fin suffit. Le sérum hydratation agit alors comme un accordeur : il remet l’instrument en diapason pour que la crème de nuit ne soit pas obligée de « compenser ». Au réveil, le toucher parle de continuité : la surface est plus régulière, le grain plus uni, l’ovale mieux disponible pour la routine du matin.
Au fil des saisons, adaptez la cadence. Printemps-été : quantité parcimonieuse et gestuelle rapide, sous une protection, pour garder la fraîcheur sans luisance. Automne-hiver : même quantité, mais pose plus lente le soir, afin de contrer le chauffage et l’air sec. Les peaux mixtes concentreront la matière sur les reliefs (haut des joues, menton) en effleurant la zone T ; les peaux normales répartiront de façon homogène pour préserver la continuité du film. Dans tous les cas, la logique d’Annayake reste la même : peu, mais bien ; des gestes précis, répétés, plutôt qu’une épaisseur occasionnelle.
Duo avec le contour : cohérence du visage
Un visage reposé soutient visuellement le regard. Les semaines d’écrans ou de déplacements, faites dialoguer le sérum avec un soin contour posé en amont : la zone oculaire reste souple, le visage entier gagne en lisibilité. Pour garder l’axe esthétique et technique et replacer ce sérum dans une architecture simple (hydratation, structure, réparation), on se réfère naturellement à la maison Annayake, où la cohérence prime sur l’accumulation.
Publics : peaux mixtes qui s’assèchent sur les joues mais brillent sur la zone T ; peaux normales sujettes aux tiraillements intermittents ; profils urbains exposés aux néons, aux variations de température et à la climatisation. Contextes : journées longues, voyages, intersaison — autant de situations où l’eau manque avant la fermeté. Résultat attendu : une peau tenue parce qu’elle est souple, un teint clair parce que le film est continu. On ne « voit » pas le produit ; on voit la peau — plus lisible, plus régulière, naturellement présente.


