Dès la première vaporisation, Nina Rouge Crush Eau de Parfum libère une cerise juteuse qui éclate aux côtés d’un soupçon de framboise et d’un zeste de citron yuzu, déclenchant un véritable « cherry bomb » sensoriel ; cette ouverture fruitée imprime instantanément un sourire au porteur.
Une cerise croquante d’emblée
L’effet « première bouchée »
Olivier Cresp pousse la note cerise-framboise à son paroxysme pour se distinguer du duo pomme-praliné des éditions précédentes : la cerise de Rouge Crush est plus sombre, presque confite, tandis que la framboise apporte une vivacité pop proche des boissons fizz prisées par la Gen Z.
Un cœur floral rose-gardenia « blush »
Après quelques minutes, un bouquet de rose de Damas et de gardenia crémeux adoucit l’acidité fruitée ; ce duo floral sert de pont entre gourmandise et élégance couture.
La caresse vanille-ambre qui prolonge le sillage
Bourbon & Tahitensis : un duo addictif
Le fond marie deux vanilles — Bourbon pour la rondeur, Tahitensis pour la facette crème-caramel —, soutenues par un bois de cèdre lacté et un voile d’ambre. Résultat : une tenue d’environ huit heures sur peau et jusqu’au lendemain sur textile léger.
Pourquoi cet accord séduit-il autant ?
La popularité des parfums cherry-vanilla explose sur les réseaux : la dualité « cerise croquante / vanille réconfort » joue l’équilibriste entre fraîcheur acidulée et douceur enveloppante, offrant un sillage gourmand sans jamais devenir écœurant.
Secrets de formulation
Pour capturer la cerise sans lourdeur, Cresp compose un cherry accord mêlant aldéhydes fruités et touches d’amande rappelant le noyau, tandis qu’une vanilline naturelle issue de la filière Madagascar confère la chaleur « crème brûlée ». Chaque matière est dosée pour traverser les saisons : en été la cerise pétille, en hiver la vanille se drape d’ambre, rendant Nina Rouge Crush étonnamment versatile.